I can't imagine a world with you gone ⛤ Altaïr

Hold on, I still want you, come back, I still need you, let me take your hand, I'll make it right, I swear to love you all my life. I can't imagine a world with you gone, the joy and the chaos, the demons we're made of, I'd be so lost if you left me alone. Hold on, I still need you.

Bâtisse territoriale qui n'a plus rien de nationale, véritable refuge aux âmes meurtris par les événements précédents. Perte, trahison, mort, suspicion; souffrance. Y resplendit en teintes obscures l'astre angélique, dont les traits ne témoignent plus que d'une douce mécanique manichéenne révélée, habituelle bienveillance empathique refréné au myocarde meurtrit; battements dissonant. Frère qui n'a jamais quitté ses côtés, sœur capitale lumière qui ne brille plus que faiblement, au trio splendide se fait pourtant ressentir le manque de l'être chéri. Opalines vrillant sous la violence de la folle inquiétude ignoré, pensées se focalisant sur l'utilité que sa personne peut apporté ci et là. Ne penses qu'à ceux présents, Zaniah. Paroles sous-jacentes torturant pourtant l'esprit défaillant.

Ignorance. Pas vagabondant continuellement afin de pallier à la paranoïa geôlière. S'activer. Aider. Réparer. Panser. Préparer. Pour enfin, attaquer.

Raies de lumière valsant en une harmonie désarçonnante, l'infante s'intéresse à la source scintillante, nouvelle. Astre franchissant les portes, intangibles. Palpitant s'emballant donnant l'impression d'imploser en sa cage thoracique, qui fait prisonnière l'éclat de sentiments désarçonnant. Patience primaire, Altaïr étreint tout d'abord le frère, contenance que la constellation recouvre afin d'achever son agissement présent. Minutes défilants péniblement, avant qu'enfin, l'occasion ne se présente pour eux. Regards s'épousant en une douceur indécente, pas respectifs allant à la rencontre de celui qui manquait à l'âme du second.   Étreinte que l'angelot mécanique amorce sans retenue aucune, pair d'yeux autres pouvant bien les observer en une révulsion certaine que cela ne lui aurait importé. Apaisement de tourments lancinant, certitude qu'enfin, il allait bien. Il était envie.

« Le fil rouge jamais ne se brise.» Dicton énoncé en une langue étrangère, de l'espagnol peut-être, ou du français, ou encore du mandarin. Seul le complément de son âme serait. Étreinte mettant à mal les rigides barrières de l'étoile, qui ne se révèle plus que simple femme. A quoi bon se jouer d'un de ceux qui a tout vu ? Fébrile arabesques des lèvres se mouvant en un sourire témoin d'un soulagement précaire, affection suintant de ce simple fait. Peur s'estompant, un instant, sentiment bannie de plénitude enivrant l'infante des cieux. À ses côtés, elle était entière. Doigts se mêlant à ceux de l'étoile complémentaire, l'intimité est veine, à peine à l'écart de la masse grouillante. Présence resplendissante de l'autre anihilant pourtant toute notion d'un environnement quelconque, pensées ne sachant dévier de l'être retrouvé, après la séparation qui sembla infinie. Voile intangible couvrant la population grouillante, tandis que les simples azures pansent les plaies de l'âme; sœur.