i'll worship like a dog at the shrine of your lies, i'll tell you my sins and you can sharpen your knife, offer me that deathless death. good god, let me give you my life.
Ça te fait chier. Ça te fait clairement chier parce que tout a dégénéré et que t’as dû te révéler trop tôt. Les explosions étaient censées accélérer les choses et t’aurais jamais dû finir en taule. Mais tu t’es rattrapé, évidemment. L’attentat sur les dortoirs de ces abrutis de sud-américain a été une réussite totale en plus d’être un bon moyen pour fêter ta sortie de prison. Même si t’as seulement pu échapper à cette pute de Vivianne et que tu te retrouves à fuir. Encore. Cabane est l’endroit idéal pour te planquer. Pour l’instant en tout cas. Tu prends soin de bouger de place. Souvent.
Et au final, t’as besoin de compagnie. Parce qu’il est cool, le fantôme d’Ambre. Mais peut-être encore plus chiant et moralisateur que l’original. Alors t’as besoin de mieux. Et il est gentil, Ambre. Même mort. Parce qu’il t’a piqué ton MP3 et qu’il t’en doit une. Le messager parfait pour aller chercher ton latino préféré. Vous aviez pas encore pu faire le tour de tous les lieux sacrés. Ouais. C’est un bon plan ça. Puis tu dois t’excuser aussi. Il le faut. Au moins un peu parce que t’as pas l’habitude de le faire. Alors tu l’attends. Dans ta forêt, dans ta cabane. Petit voyant qui joue au manitou dans sa cabane décorée de grigris foireux, bricolés et taillés dans le bois. T’aimes bien sculpter le bois. Petites statuettes gravées, aux figures hasardeuses. Peut-être que ça t’aide à pas redevenir aussi taré qu’avant. Peut-être que ça t’aide à te centrer sur les voix que tu entends, sur les images qui te parviennent parfois.
Bruit de pas se font entendre, tu sors à peine la tête de la cabane pour adresser un grand sourire à Cha Cha Cha. Bordel il est venu. Cet homme est parfait. Peut-être qu’un jour, tu lui diras la vérité, juste pour ça. « Mais c’est que t’en as prit du temps pour venir jusque là. Tu t’es perdu, beau brun ? » Tu clignes des paupières, ricanes un peu moqueur alors que tu rentres à nouveau, l’invitant à se rentrer dans ta demeure provisoire. Et on pensera peut-être à remercier fant-Ambre plus tard.
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DÉS:
AHAH C'EST SECRET ENCORE BABE
Lun 27 Mai - 23:07
Vivianne
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Le membre 'Sherry' a effectué l'action suivante : Lancer de dés
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Mar 28 Mai - 0:23
El Decapito
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Apologies de mon cul.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] Cha avait été coincé dans les serres avec les autres pendant longtemps. Il avait presque pété les plombs à force d’être enfermé, de se sentir vulnérable et surtout de ne pas savoir où était Sherry. Parcqu’avant que tout parte en couilles, il se donnait l’ar assuré, l’air d’être un caïd de la cour des grands alors qu’en réalité, c’était juste le boulet du jardin d’enfant qui joue tout seul dans le bac à sable. Ca devait être une nouvelle vie. Il voulait montrer à tout le monde qu’il avait le droit d’être là, qu’il avait mérité sa place mais tout se cassait la gueule et il restait juste Sherry qui l’avait cerné et qui lui avait promis monts et merveilles. C’était sa porte de sortie si ici c’était fichu. Sauf qu’il avait disparu, l’angoissant dans ces serres où ils étaient en train de rôtir comme du poulet à la broche tant le soleil tapait sur les fenêtres. Le spectacle était terminé Cha exposait ses faiblesses.
Hors des Serres il marchait sans savoir où aller avant de se laisser tomber derrière un mur et pleurer. Il se sentait trahi et abandonné même la rue était plus accueillante. Peut-être pourrait-il y retourner finalement, vendrait son corps en échange d’information à donner à ceux qui y mettraient le prix. Ouais, ptete bien qu’il pourrait reprendre sa vie misérable d’avant et … il se mit à crier, surpris de voir débarquer le fantôme du feu Uagadou débarquer comme ça. Cha cligne des yeux en posant la main sur son coeur. Ambre a un message à lui transmettre de la part de Sherry. Son Sherry ? D’un bon il se lève, et traverse la pelouse. Il est prêt à en découdre et à avoir une putain d’explication. Il pénètre dans la fôret plus déterminé que jamais. Les branches craquent sous ses pieds et bien vite il aperçoit la tête de Sherry. Y’a son coeur qui fait un bond mais il ne devrait pas. Cette fois, il ne craquerait pas. Non. Il voulait des explications et il n’aurait rien d’autre avant ça. RIEN. Cha, habile, grimpe avec facilité dans la cabane. Il va lui montrer le temps qu’il a perdu ce qu’il en a fait. Il a bien réfléchi à ce qu’il lui dirait, voilà tout. Il grimpe et se retrouve face à son Anglais. Face à ses crolles, à son sourire et à ses fossettes. Ne pas craquer. “Yé deux mots à té dire avant qué tou ne dises quoi qu’cé soit.” Il bombe le torse, il ne se laissera pas avoir par ses belles paroles. “Tout é tait avant qué yé terminé” Et puis là, SHerry fait apparaître un bouquet de fleurs sorti de nulle part. Really ?! Il s’avance, les pupilles en feu avant de le gifler violemment au visage. “Ye né voux plous jamé té révoir ! ” Il l’avait abandonné, trahi, et la gifle est suivit par un coup de poings dans ces fossettes qu’il aimait temps contempler lors de leurs folles nuits. Il s'était promis de ne jamais lire dans ses pensées parce qu’il l’aimait bien Sherry, il l’aimait beaucoup. Mais la trahison était douloureuse et s’il avait su. Il n’aurait pas fermé son esprit à la recherche des pensées du brun.
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Bordel, il met son temps pour monter ce couillon. Même pas capable de transplaner jusqu’en haut, sérieusement ? T’as vraiment choisi le plus stupide d’entre tous. Mais il est tellement attendrissant que t’arrives plus à t’en passer. C’est terrible et tu retiens à peine ton sourire quand il se met à parler. Accent t’as toujours émoustillé et tu peux pas t’en empêcher. Sûrement que c’est déplacé comme réaction, mais qui est-ce que ça dérange.
Oh. Et Monsieur Cha semble bien partit pour tenter quelque chose. C’est cute. Tour de passe-passe est effectué et bouquet de fleurs est présenté. Une manière de t’excuser peut-être, quelque chose dans le genre. T’es pas très potable en relations humaines. Mais t’as déjà vu que ça se faisait, alors pourquoi pas. Gifle claque ; le bouquet fonctionne donc pas. Tu grognes, lèves les yeux au ciel quand l’autre joue à la dramaqueen et… le coup de poing est de trop. Clairement. Les fleurs tombent, tu lui rends le coup sans plus attendre et tu viens le saisir au col. Places sont échangées et tu le plaques contre le tronc de l’arbre qui abrite ta belle cabane. Il se prend pour qui le latino ? Émeraude colérique se plante dans le charbon désemparé alors que tu approches ton visage du sien. « Ne t’avise plus jamais de dire une connerie pareille. » Tu fronces les sourcils, comme pour le dissuader de tenter quoi que ce soit avant de t’adoucir à nouveau. Fin sourire reprend place sur tes lippes alors que tu te repenches sur lui, embrasses le bout de son nez comme il avait autrefois osé faire. « Tu sais bien que c’est impossible, bébé. Tu le sais parce que t’es à moi et qu’y a que moi qui sais ce que tu vaux vraiment… n’est-ce pas, Cha Cha Cha ? » Pseudonyme est fredonné, voix fluette et douce. « Y a que moi qui veux de toi pour autre chose que ton beau petit cul bronzé. » D’autres baisers suivent, au coin de ses lèvres, le long de sa mâchoire, jusqu’à ce que tu puisses chuchoter au creux de son oreille. « Parce que sinon… Tu iras où, quand j’aurais fini de faire sauter l’Astronef, hm..? » Il veut pas retourner dans ses putains de favelas, tu le sais et t’en joues. Mais faut te comprendre. Tu veux pas le perdre. Tu peux pas le perdre.
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Mer 29 Mai - 23:54
El Decapito
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[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] Cha Cha Cha se retrouve bien vite en haut de l’arbre. Et même s’il le voit avec son large sourire, il garde les sourcils bien froncés, déterminé. D’ailleurs, il évite de le regarder dans les yeux, voir ses petits yeux verts et se perdre dedans, c’était la pire des mauvaises idées. Il grimpe et annonce la couleur. D’un gest l’autre lui sort un bouquet de fleurs, l’ai innocent et s’en est trop pour le Castelo qui a décidé de déterrer la hache de guerre en lui collant son poing dans la figure. Cha a les yeux qui se remplissent de larmes d’avoir été si trompé et se ramasse à son tour un poing dans la figure avant d'être plaqué contre le tronc d’arbre qui orne le centre de cette maudite cabane. Grimace naît sur son visage avant de disparaître lorsque ses vertes pupilles se focalisent sur les siennes si obscures. Il ne lâche pas son regard, ils se lancent des éclairs. Il lui parle comme il veut d’toutes façons. Et puis, ses lèvres s’étirent tandis que le latino garde toujours ses lèvres scellées. Il était temps qu’il reprenne ses couilles en main. Vraiment temps. mais…” Heu..” Frisson s’échappe dans tout son corps lorsqu’il vient poser ses lèvres sur son nez. C’est vrai que c’est déroutant comme approche. De nouveau il flanche, surnom chanté le fait un peu rire. Un son nerveux qui s’échappe de sa bouche. “Je… J’suis pas à toi. J’suis à personne.” C’est une voix faible qui tente de s’affirmer. Sherry a eu tant d’emprise sur lui. Cha, il n’avait rien anticipé, c’était sa poupée au départ, un humain faible, son jouet mais sans qu’il s’en rende compte, les rôles s’étaient inversés. Il rentre sa tête entre ses épaules quand ses lèvres viennent embrasser d’autres parcelles de peau, tente de reculer en même temps mais le pauvre est coincé. Les premiers mots le font sourire bêtement, il aime lorsqu’il lui parle au creux de l’oreille et que les ondes de sa voix gravent viennent se perdre dans ses tympans lui arrachant un long frissons. Plaisir disparaît bien vite quand le souvenir des bidonvilles le frappe à nouveau, lueur de défi dans le regard qui s’éteint bien vite. Cha baisse les yeux : Sherry avait raison, il ne pouvait pas retourner là-bas. Mais qu’est-ce qui était pire ? La vie de Sherry ou les Favelas ? Il ferme les paupières quelques longues secondes avant de les ouvrir, sûr de lui, retrouvant ses couilles. “Je serais avec toi si tu arrête de tout faire péter, si tu arrête d’être... a...avec eux.” Il tourne la tête, le pousse pour pouvoir retrouver un peu d’air frais. “Je.. J’peux pas te laisser faire ça”
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Il t’exaspère. Tu le frapperais bien une nouvelle fois, histoire de t’assurer qu’il reste calme. Mais il te fait toujours plus sourire, il tâche de se convaincre et tu le laisses faire. Et ces larmes. Ces larmes qui bordent son regard, ces larmes que t’aimerais goûter, cette détresse que tu voudrais savourer. Mais pour l’instant, tu te contenteras seulement de lui remettre les idées en place à coups de reins. « Personne ? Vraiment ? Si ça te rassure de penser ça… » Tu ricanes doucement, le laisses croire ce qu’il veut ; ça ne changerait en rien la réalité. Du bout des doigts, tu viens tracer une ligne le long du coup du latino, lentement, frôlant seulement sa peau alors que tu chuchotes. « Quand ce sera fini, faudra que je te trouve un beau petit collier. Au moins tu n’oublieras plus. » Souffles se croisent, tu prends plaisir à le malmener un peu. Langue claque contre ton palais quand il ose te repousser, regard se fait toujours plus dur quand tu secoues la tête. « C’est pas comme ça qu’ça fonctionne. » Tu combles une nouvelle fois la distance qui vous sépare, veille à ce qu’il ne s’échappe jamais. Poigne de fer dénote quand tu saisis sa mâchoire entre tes doigts fins, le force à te regarder. « Mais je ferais tout pour toi, tu le sais. Une fois qu’on aura fini, une fois que cet endroit sera réduit en cendres, t’auras tout ce que tu veux. » Tu presses ton corps contre le sien, le replaque comme il se doit contre cet arbre. Tes lèvres frôlent les siennes, main descend se coller contre sa gorge, serre quand tu continues de le rabaisser. « Et tu vas faire quoi ? C’est toi qui vas m’en empêcher peut-être ? T’en es pas capable et tu le sais. » Sourire demeure mais se fait moins tendre, moqueur, presque méchant. Il est mignon, comme un enfant qui fait de son mieux pour remporter une bataille perdue d’avance. « T’as une belle gueule mais ça ne me fera pas changer d’avis. Peut-être que je devrais te garder là… histoire de pouvoir venir te baiser entre deux explosions. Tu aimerais ? » Coup de hanche est donné et ton autre main glisse sur son flanc, remonte un peu sous son t-shirt alors que tu viens saisir ses lèvres entres les tiennes, le dévore sans la moindre tendresse.
La négociation ne va pas être facile et Cha le sait. Néanmoins, il y a encore de l’espoir parce qu’ils s’aiment n’est-ce pas ? Les coups de reins de Sherry le font frissonner et désir naît au creux de son ventre mais il ne peut pas flancher. Il ne peut pas. Il doit l’en empêcher car il a la prétention de penser que Cha est le seul à empêcher Sherry d’accomplir ses sombres dessins. Il gémit. De désir ou de peur, il ne sait pas vraiment. Il ne se sent pas en position de force, pas du tout. Sherry à tout retourné chez lui : “Un..Un collier ?” Il joue les imbéciles et bien que la situation ne s’y prête pas, Cha sourit bêtement. C’est fou tout ce qu’ils pourraient faire avec un collier quand même.. “Ooh.. Je vois…” Il se mord la lèvre. Jouer sur le fait que les propositions indécentes de Sherry font réagir ses sens pour peut-être s’échapper. Il s’agira juste de dompter cette malaisante excitation. Cha Cha le repousse loin, tente du moins. Lui faire croire qu’il a envie mais que par principe il dit non. Sur la forme, c’est exactement ce qu’il ce passe. Sur le fond… Il ne doit pas craquer. Il ne peut pas. Ses doigts carnassiers viennent agripper son menton l’obligeant à se perdre dans ses rétines. Dominé. Cha ne dit rien, il en a le souffle coupé. Jamais il n’avait vu Sherry dans cet état. Jamais. Et putain. Il kiffe ça. “Je….” Corps est à nouveau plaqué contre l’arbre. Cette fois, le corps ne peut plus cacher son excitation quand son corps se presse à nouveau, quand doigts viennent encercler sa gorge et que ses lèvres frémissent faiblement contre les siennes. Cha se tait, incapable de parler. Fasciné par le spectacle qui se déroule sous ses yeux. Sherry est trop confiant et cette confiance lui donne envie de se mettre à genoux devant lui. La soumission excite Cha plus que la domination car la soumission est bien plus difficile, bien plus inaccessible. “Tu sais, je…” Voix tremblante quitte ses lèvres mais à nouveau Sherry le fait taire. Il sourit moins, menace de venir s’occuper de lui lors d’une pause qui n’arrivera jamais durant cette foutue guerre. Cha en crève d’envie. Coup de rein, encore. Sa bouche vient se plaquer contre la sienne et Cha ne peut plus tenir. Langue s’infiltre sans douceur, ardente. Souffle est chaud, la main de Sherry sous son t-shirt glisse sur ses abdominaux. Pouvait-il vraiment l’en empêcher ? Pas maintenant en tout cas. Une main vient se perdre dans ses bouclettes, tandis que l’autre main vient tirer le tissus de son T-shirt. Il retire sa langue de sa bouche, prends une longue inspiration. Voix est saccadée, gourmande : “T’as pas envie de me baiser maintenant ?” Sourire goguenard reprend sa place sur le visage de Cha Cha Cha, son regard pétillant renaît dans ses yeux. Jamais il pourrait lui faire du mal. Quoi que... Opinel magique est toujours cachée dans sa botte.
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Lun 27 Mai - 23:04
